Pas un mot sur René Girard... non pas qu’il ait été réfuté mais qu’il irrite pour les problèmes qu’il soulève et les réponses qu’il leur apporte. Juste une question de goût, de peur des choses telles qu’elles sont, de désorientation + la relance vigoureuse et scientifique du christianisme. Habermas à la puissance 100 s’il était possible de les comparer. Le christianisme pertinent, surtout, impardonnable.
Trop profond, au-delà du politique ; en rester toujours au niveau des réponses « socialement significatives », des boucs émissaires quoi : c’est la faute à ceci ou à cela, ou mieux à celui-ci ou à celui-là !
Il n’y a plus de pensée, hors René Girard, car les brumes d’erreurs nées de la seule agitation intellectuelle sont retombées. Le lien avec la source de l’intelligibilité ayant été rompu, on n’est pas allé bien loin.
Requiem pour l’orgueil de l’intellectuel de tous les bords.