Pourtant, le capitalisme tel qu’il est envisagé aujourd’hui prendra bien fin à un moment ou un autre. Cette crise n’en constitue que le signal de départ. Attendons sa fusion avec la crise énergétique, alimentaire et climatique (qui apparaîtront à peu de chose près en même temps) pour envoyer l’avis de décès.
On aura le souvenir des années Thatcher et
notamment de ce bras de fer entre les mineurs et un pouvoir déterminé à
transformer l’économie du pays pour enrayer le déclin.
Sauf que les mineurs constituaient un corps soudé alors qu’aujourd’hui, la colère est éclatée, atomisée et donc moins simple à canaliser.