Faut vraiment avoir le bulbe amorti pour s’exciter au spectacle sordide des Bonny et Lafont de l’audiovisuel français en plein débitage de victimes innocentes. Le tout sous l’oeil égrillard de Ruquier toujours avide de sensations fortes.
Vivement le jour où par le plus improbable des hasards, le sinistre tandem ira titiller les burnes d’un gros gorille vigoureux qui leur fera connaître le sort du juge dans la chanson éponyme de Brassens.