...le président Barack Obama n’a toujours pas accordé à Nicolas Sarkozy le grand tête-à-tête médiatique dont celui-ci rêve depuis novembre 2008.
L’originaire d’Alattyán devrait lui faire miroiter une sortie honorable pour l’affaire de Guantanamo, parce que même les groupies énurétiques du sapeur de la Maison-Blanche, finiront par comprendre qu’il a annoncé la fermeture du camp, sous l’ovation planétaire escomptée, sans avoir la moindre idée de ce qu’il allait faire des détenus - ce qui est déjà raide -, mais encore qu’un an plus tard, le problème n’a toujours pas le moindre début de commencement d’amorce de solution - ce qui est la marque accablante d’un dilettantisme effarant à ce niveau de responsabilité !