JW
Là, tu touches le point sensible de MOmo. En matière de Blues, Momo, c’est le Stéphane Bern du journalisme musical. Jugez plutôt.
« Mayall finissant à l’harmonica sans se départir de son sourire et de son flegme de Lord (il a été annobli par la Reine d’Angleterre !) par un » Room to move « endiablé qui n’ a pas pris une seule ride »
C’est très ringard comme style, non ?