Il me semble, peut-être fais-je erreur, que sarkozy ne reconnaît que deux erreurs (c’est peu ! et ne concerne que la forme pas le fond) : l’une concernant sa réponse quelque peu sèche au patron de « Libération » Laurent Joffrin qui lui reprochait d’avoir instauré une « monarchie élective », et l’autre sa réaction agressive au Salon de l’Agriculture de 2008 où il dit à un visiteur « casse-toi, pauvre con ». On soulignera qu’il ne demande pas pardon aux personnes concernées et ne se renie pas sur le fond.
Sarkozy déclare « Je ne pourrais plus nommer aujourd’hui, comme l’avait fait François Mitterrand, mon directeur de cabinet à la tête d’EDF. C’est la fin du fait du prince ». Au demeurant, a-t-il oublié qu’il a nommé François Pérol, secrétaire général adjoint de l’Elysée à la tête du groupe issu de la fusion des Banques populaires et des Caisses d’épargne : http://poly-tics.over-blog.com/article-28392951.html