Le célèbre coin-coin a provoqué pas mal de prurit chez nos fameux leaders de tout poil et de tous horizons.Et ce n’est pas terminé. Je lis « Mon canard » chaque semaine ,depuis le lycée -1957-(sauf pendant ...les opérations de maintien de l’ordre en Algérie ,selon la prose de l’époque,car il était interdit dans les unités). Aujourd’hui retraité, j’attends effectivement chaque mercredi matin avec joie et gourmandise ..
Ma baguette sous le bras, muni de mon précieux Canard, sans béret néanmoins, je rentre vite au logis jamais déçu.
Je n’ai pas les connaissances pour inviter la rédaction à évoluer et je me garderai bien d’épiloguer sur le thème.
Merci cher Canard, et longue vie ,pour l’instant la formule semble toujours excellente.
N’oublions pas les générations précédentes qui se sont battues pour la liberté de la Presse comme dirait Figaro ; je n’ai pas dit le Figaro. Salut et bonne route.