Après cet hommage vibrant, il convient de trouver le ou les responsables de cette conduite imbécile et contre-nature. Mais reste t-il dans la capitale un seul chêne de justice permettant de les pendre haut et court, ou faudra t-il utiliser dorénavant les poteaux de l’éclairage public ?
Au fait, s’il pleut demain, c’est une pelouse à 600 000 euros qui va être dévastée par le concert de Johnny sur le champs de mars. Personne pour permettre une économie substantielle au budget municipal ?