Ce que les électeurs souhaitent, c’est de pouvoir continuer dans leur petit mode de vie dégueulasse, et que les tuiles que perd le toit continuent de tomber sur la gueule des autres, pendant que la voix du pouvoir explique que c’est leur faute s’ils se trouvés là et qu’en quelque sorte, c’est bien fait pour eux, et qu’ils n’ont qu’à se démerder pour s’en sortir « comme nous ».
Par conséquent, ils voteront encore une fois pour un salaud, le plus cruel, le plus filou, bref le plus efficace selon les règles de ce jeu là. Déja dans les années 70, un sketch du film « mesdames et messieurs, bonsoir », comédie italienne genre « nouveaux monstres » mettait en scène cette réalité ; Et depuis, pas un salarié qui ne vote pour son patron, ou à tout le moins pour un type muni d’une sale gueule de chef de service. Bravo !!!