certains exaltes, sous couvert de purification, s’enferment dans une sorte de dependance a un etat second. a ce stade la, la quete de purete n’est plus qu’un pretexte, et je crois que l’on s’eloigne du but dans une forme de demission intellectuelle.
heureusement, le soufisme n’atteint pas toujours ces stades caricaturaux.
il pose par ailleurs un probleme politique a des regimes fascisants. mais lorsqu’il soustrait l’individu a la loi d’un pays, ou lorsque l’individu se soumet totalement a son maitre, le soufisme se rend tout aussi incompatible avec la democratie.