@Léon
C’est dans la puissance d’associations de consommateurs que se trouve
le moyen de corriger les dérives des commerçants, beaucoup plus que
dans des lois ou des leçons de morale.
Personnellement, à choisir,
je préfère l’amoralité du capitalisme financier à la morale de la
finance islamique, cette dernière ne voyageant jamais seule…
Effectivement, Léon, je pense que individuellement ou regroupés, les consommateurs ont le pouvoir de dire et de faire et que ça vaut tous les comités d’éthique et les sharia boards ...
J’apprécie votre dernière phrase:la
finance islamique, cette dernière ne voyageant jamais seule…
C’es précisément le fond du problème )