Après un passage drolatique par les traders pour venger sa pauvre vieille petite maman, pauvre cadre bancaire retraitée victime de sa spéculation sur Natixis et avant un retour vers son habituel anti-sarkozysme, Imhotep vient jouer son larbin de la B(a)yroute.
(Parenthèse : cas d’école du complexe d’Œdipe : « amoureux » de sa maman et voulant tuer son « père », l’autorité… Sarkozy !!)
Dans ce long article, comme une récitation, il se livre à un exercice de lèche-cul qui va l’obliger à un long bain de bouche à l’Extril pour éviter les aphtes.
Tellement à plat ventre (ce qui n’ai pas facile pour faire du lèche boule…), il en a oublié l’essentiel : la B(a)yroute est devenue le pauvre petit pantin de Ma Vieille de Sarnaze.
Il fallait voir le pauvre François, bouffi, ses petits yeux de cochon éteints, le bégaiement à fleur de lèvres (et encore plus, au passage, hier sur Inter) reprendre la vulgate de la nouvelle n° 1 du Modem, rebaptisé Mouvement de Marielle.
La route des Modemous est maintenant tracée par la bobo moche-moche.
Elle mène tout droit aux régionales de 2010 et aux strapontins que lui offriront le PS ou Les verts (le parti de Cohn-Bendit qui a traité Baille-mou de « minable » et de Duflot qui avait qualifié les propos du France-Galopeur un soir de juin sur France 2 de « « raclure de fond de bidet »).
Quelle humilitiation !...
Cette foi c’est une évidence : La B(a)yroute ne gicle plus.