N’oublions pas que la Droite s’en remet toujours à un leader.
Et avec la même obstination, affirme systématiquement, quand elle est obligée d’admettre que tout va mal, que c’est la faute d’un homme, jamais du système.
La Droite est mauvaise joueuse : elle botte régulièrement en touche pour garder le pouvoir.
Mais que fait l’abitre ? L’arbitre est vendu !