Bonjour l’auteur,
dès lors que le système de défense de M. Mitterrand se résume à tenter d’amalgamer homosexualité avec pédophilie, il s’est trouvé des dizaines d’articles comme le votre.
Ainsi, vous participez vous aussi à une autre meute, la meute de ceux qui pensent régler tous les problèmes de société en appelant un chat « un chien ».
Le seul débat que j’ai pu voir ici sur Mitterrand, c’est est-ce que une personne qui a commis de tels actes (Tourisme sexuel, soutient objectif aux filières de prostitution, fort soupçon de pédophilie), est-ce que cette personne est appropriée au poste de ministre ?
Le reste n’est qu’un débat technique permettant de de-bunker ceux qui appellent un chat un chien, et tentent de faire croire que éphèbes veut dire boxeur de 40 ans.
Concernant l’affaire polanski, on ne saurait parler de prescription. En matière pénale, aucune prescription ne s’applique à une personne ayant fui pendant le cours de son procès.
Pour le reste, les enculades du personnel politico-médiatique ne me posent aucun problème dans la mesure ou la loi qui s’applique au peuple pourra s’appliquer avec la même vigueur sur eux-même. On ne peut pas décider d’un coté un tour de vis sécuritaire sans précédent - notamment avec la castration chimique - et commettre de tels actes sans qu’aucune suite ne soit donnée.