Le problème, c’est que ce livre ne prouve rien, justement à cause d’un ectoplasme narrateur.
Il ne peut non plus se présenter comme une apologie car le dégout est palapble.
Et si finalement c’était un faux procès, ce livre étant une confession/excuse malgré tout. Ce serait dommage d’attaquer quelqu’un au moment des regrets.
Car une autre contribution au milieu artistique est dénoncée aujourd’hui par numérama
http://www.numerama.com/magazine/14204_1-mitterrand-la-bite-de-rachid-et-l-effet-boomerang-de-la-loppsi.html#ac_newscomment
Frédéric Mitterrand aurait lu du Camus en prologue à une oeuvre cinématographique pédéraste (avec des jeunes garçons)
Néanmoins, aucune accusation d’une « victilme mineure au moment des faits » n’entache encore la réputation du ministre. Il convient d’être prudent, tout en demandant son départ. Ce déballage intolérable est inadmissible pour un représentant du peuple