Bien sur que cela fait partie de la vie privée.
Ce qui m’étonne le plus est ce besoin syncrétique du « tout est dans tout » au sens propre et dans l’autre sens... ce besoin de tuer la différence justement ! il n’y a plus de père ni de mère mais « des parents » indifférenciés. Quelle tristesse, quel égoïsme.
Le deuxième point est l’utilisation profiteuse d’une loi. Le législateur a toujours pensé jusqu’aujourd’hui que le mariage comme les droits parentaux étaient une alliance d’un homme et d’une femme. Le contraire ne leur est même pas venu à l’esprit. C’est la loi. On peut la changer si les représentants du peuple le veulent, mais il faut d’abord la respecter, dans sa lettre et dans son esprit.