@Barbouse
Vous écrivez : "l’homoparentalité ,terme de novlangue qui ne veut rien dire si ce n’est
engendrer la confusion, parce que même quand on est éleveépar des
parent homosexuel, on a un père et une mère biologique.«
Vous n’êtes pas logique. Vous réfutez le terme »homoparentalité« mais utilisez »parents homosexuels« . Faites-vous une distinction ?
Je vais vous expliquez mon cas : je vis au Québec où j’ai deux enfants avec ma conjointe qui en est la mère biologique. Moi je suis sa deuxième mère inscrite sur son acte de naissance. Le »père", que j’appelle géniteur n’y apparait pas car il est considéré comme donneur ne faisant pas parti du projet parental. Au Québec l’homoparentalité est entrée dans les moeurs et personne ne semble confus à ce sujet.
Maintenant, que les hommes se fassent faire des enfants dans le dos et qu’ils s’en aperçoivent des années plus tard... Encore une fois, vous faites primer les liens du sang au détriment du bien être de l’enfant. J’imagine que si la DDASS refuse d’attribuer des droits parentaux aux géniteurs floués par leur ex, c’est que cela ne doit pas être au profit de l’enfant...