Bug : mon post précédent se réfère à l’article de M Leroux.
"...Jean Jouzel, qui est pourtant vice-président du GIEC, a récemment
déclaré sur France 2 que le niveau des mers « pourrait » monter de 1 m
d’ici 2100 alors qu’il sait pertinemment que les estimations du GIEC..." :
lexplication de cela est que depuis la remise du dernier rapport et son
seuil maximal à 60 cm certains travaux permettent de penser que la
hausse sera supérieure.
Et aussi peut-être que la méthode du consensus et la pression politique conduisent à privilégier la position la plus basse dans les rapports pour fâcher le moins de monde possible, éviter que les plus optimistes ne claquent la porte et avoir la garantie qu’on ne revienne pas intempestivement sur une annonce qui aurait été excessive. Je fais observer qu’au fur et à mesure des rapports la position minimale tend a être de moins en moins optimiste car le temps passant des mauvaises nouvelles ne font que s’accumuler.
La vérité, c’est qu’un fois en dehors du GIEC, la plupart des scientifiques contributeurs décrivent une réalité beaucoup plus noire que le discours officiel ne veut bien la montrer, et pour certains d’eux nous sommes seulement de 5 à 10 ans du point de non retour si rien n’est fait.