La pollution, par exemple par le CO2, mais aussi par le CO, et bien d’autres éléments et composés, est nocive pour l’être humain et son environnement. Au-delà de ça, je ne saurais me prononcer ni sur le réchauffement climatique, ni sur l’absence d’arrière-pensée d’un pourfendeur « libéral », présidant un institut belge « Hayek » (Friedrich von Hayek était un penseur libéral), de l’actuelle vulgate « réchauffiste » dont la vérité qui dérange se gargarise de développement durable, de taxes carbone et autres GIEC. Prix Nobel ou pas (voir ma Critique du concept de VIH, sur un autre terrain, et comme je ne sais pas créer de lien ici, il faudra chercher dans les Tribunes Libres d’AgoraVox, date : 6 octobre 2009).
Bravo en tout cas au commentateur Francky la Hache (sic) pour nous éclairer d’une façon bien rafraichissante. Et bravo tout de même, malgré l’empreinte (écologique ?) de libéralisme, à l’auteur de l’article, Vincent Bénard, pour ouvrir les yeux sur une réalité qui finissait par ne plus nous déranger.