Construire des lieux de culte en pleine période de crise économique est
tout sauf du progrès. Si l’objectif des religions est de remplir leur
temple avec les chômeurs on peut déjà dire adieu à toute réforme
politique, et économique et sociale.
Le résultat du vote est d’abord l’échec du gouvernement qui n’a rien vu venir, il s’est juste contenté de culpabiliser les citoyens suisses. Qu’on le veuillent ou non, il y a aujourd’hui beaucoup de questions concernant la place de l’Islam en Europe de la part des euro-citoyens, si les politiques nationales s’en fichent les partis extrémistes en profiteront.