ça me fait penser à :
« je suis convaincu que Sarkozy, qui ne peut
aller nulle part sans une garde rapprochée épaisse comme un mur, n’est
pas très courageux. »
(Alain Badiou, De quoi Sarkozy est-il le nom, p. 31)
Il ajoutait :
«
Comme tous ceux qui croient se tirer d’affaire en toutes circonstances
par la corruption des adversaires et le tapage des effets d’annonce,
Sarkozy redoute infiniment toute épreuve réelle. Si j’ai raison, ce
dont Sarkozy a le plus peur, c’est que devienne visible sa propre peur.
»