Et c’est reparti comme en 14 ! ...
Benoît XVI, complice de Pie XII - Eugenio Maria Giuseppe Giovanni Pacelli (Rome, 2 mars 1876 - Castel Gandolfo, 9 octobre 1958), élu pape le 2 mars 1939 sous le nom de Pie XII (en latin Pius XII, en italien Pio XII) - dans sa non-dénonciation, quand ce n’est pas de sa sympathie, de A.H ,génocidaire du peuple élu...
Il ne se passera donc pas une année, un mois sans que l’une ou l’autre des élites du parti qui n’existe pas n’intervienne haut et fort pour stigmatiser l’Église Catholique au travers soit de ses Évêques, soit, ici, en cette veille de Noël, de son plus haut représentant, le Pape.
Et ça dure depuis près de 70 ans ; sans relâche aucune. Malgré toutes les preuves et dénégations apportées ici et là.
De quoi de mêle le grand rabbin de France, Gilles Bernheim, qui ose espérer que l’Église catholique « renoncera » au projet de béatifier Pie XII, cette décision du pape Benoît XVI de proclamer vénérable Pie XII s’inscrivant selon lui « aux antipodes du dialogue judéo-chrétien » ? Qu’en sait-il de ces soit-disant silences ? A-t-il donc tout lu des archives du Vatican pour être aussi affirmatif ? Et son fameux dialogue, il n’est pas un peu à sens unique ?
Le Vatican demande-t-il des comptes à Israël sur les origines juives des felachas, sur la future désignation du dalaï-lama, ou sur la nomination des ayatollah, des imams, ou celles des moines au Japon, sur le refus de Mme Golda Meïr d’une aliya pour les juifs polonais malades et/ou handicapés, en 1958.
Et toujours cette inévitable et nécessaire recours à la Shoah pour faire pleurer le bon peuple...
Qu’en est-il donc de ces 150 000 jeunes juifs qui défilaient en chemises bleu foncé aux cotés des Hitlerjugend , en chemises brunes ?
Pour qu’un Serge Klarsfeld en arrive à remettre quelques pendules à l’heure en avouant : « Tout cela est très difficile à apprécier. N’occultons pas que Pie XII a eu des gestes discrets et efficaces pour aider les juifs. Citons par exemple ce qui s’est passé à Rome. Un millier de juifs ont été arrêtés lors d’une rafle-surprise. Pie XII n’a pas protesté à voix haute, mais il a demandé aux établissements religieux d’ouvrir leurs portes. Résultat : des milliers de juifs ont pu être sauvés. Alors que si Pie XII avait élevé la voix, quelles auraient été les conséquences ? Est-ce que cela aurait changé les choses pour les juifs ? », il semble bien que Benoit XVI n’ait absolument rien à se reprocher en quoi que ce soit.
Mais pour ceux que la personnalité de Pie XII inquiète, une référence essentielle se trouve ici :
sur ce site, Pie XII,
Une autre également, celle-ci, très documentée, où sont répertoriés un nombre impressionnant d’écrits d’origines diverses. ( Ceux du rabin David Dalin, entre autres.)
- le livre de Jean Sévilla, « Historiquement correct. »
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En résumé, « un Etat représentant une dizaine de millions de personnes, demande à une institution internationale rassemblant plus d’un milliard de personnes, de se soumettre à ses directives en s’ingérant de manière obscène dans des affaires qui ne le regardent pas. »
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Pour terminer sur un brin d’humour, pour ne pas vomir en écoutant le sieur Duhamel se gargarisant dans la soupe du politiquement correct, des paroles merveilleuses du non-moins merveilleux dialoguiste Michel Audiard :