Si vous lisez bien mon article, il dit qu’il y a un double déclassement social et une double souffrance issue de la crise qui frappe la très petite entreprise (et les autres aussi mais ce n’est pas mon sujet. Mon sujet porte sur la micro entreprise valorisée par certains altermondialistes le plus souvent en ESS il est vrai).
Déclassement dur et double :
- les licenciements des employés de très petites entreprises.
- le petit patron qui licencie avec d’une part sa propre souffrance de faire ce genre de chose (étude citée en lien) et d’autre part un déclassement social qui le fait passer de patron à travailleur isolé et bien souvent de titulaire de bons revenus à prolétaire (nettement moins que 3000 euros par mois).
J’ai à la fois une attitude critique (froide) mais aussi compréhensive (chaude) sur ces processuspuisque la question posée est toujours pour moi de donner un cadre, un ordre juridique qui permet à la fois la liberté et la protection. Et voyez-vous je pense la protection y compris pour celui qui la veille encore ne pensais qu’en terme de liberté individuelle, d’embaucher et licencier librement, de ne pas payer d’imlpôts, etc... comme cela a été répondu plus haut.
Mon papier ne répond pas à tout loin de là. Il incite au débat c’est certain.