Monsieur Villach, outre ses analyses qu’on peut apprécier ou non, selon les sujets, se réfère constamment à des formules-types, tels ; le leurre, l’intericonicité, la métonymie, etc... ET la « mise en abyme ».
Or, je ne vois ici, dans la photo de Guillon en une de VSD, aucune mise en abyme qui est, je le rappelle, un procédé consistant à incruster une image en elle-même ou une oeuvre dans une oeuvre de même type, comme en un effet « miroir » ou d’« écho » ; telles, par exemple, la fameuse image de « la vache qui rit », avec l’image représentée en médaillon (boucle d’oreilles) , ou encore une fameuse pochette de disque des Pink Floyd ,
ou bien encore un des autoportraits du peintre Normann Rockwell
Procédé utilisé souvent par Dali.
Or, rien de tel dans l’image présentée ici.
Bien joli d’utiliser des formules « brillantes » ; encore faut-il qu’elles soient adaptées au sujet, sinon, elles ne renvoient qu’au seul désir de leur auteur de briller, à travers le leurre de l’érudition.
Peut-être une façon, pour monsieur Villach, de se mettre en abyme, pour mieux se contempler ?