Peut-être serait-il temps d’encourager et d’associer production
et consommation au niveau local. Arrêter la culture intensive au profit d’une
culture de saison. Pour contrer une mondialisation maquereauter par les grandes
firmes, créer des microsociétés au niveau locale et régionale afin d’assurer la
survie, la qualité et la respect du à chaque individu. Mieux vaut l’artisanat local
au productivisme insensé des multi nationales.