Nous avons besoin de personnes volontaires et motivées mais ces personnes ont droit à une reconnaissance et une formation. Prenons par exemple les femmes de relais de Champigny (Val de Marne) que je connais assez bien
Elles font un boulot remarquable quand elles récupèrent des enfants qui traînent le soir, les ramènent à leurs parents et discutent. Elles demandent des moyens et un peu de reconnaissance ainsi que de la formation.
Sur Léo Lagrange, il faut faire une distinction entre les actions de terrain et la fédération qui est maintenant une institution qui cherche à faire du fric.