Je tiens à dire que je ne suis pas un « climato-sceptique » et que je pense sincèrement qu’on va droit dans le mur, et que rien ne sera fait jusqu’au bout. Pire, on cherchera des moyens de consommer toujours plus jusqu’à la dernière seconde.
Pourtant, je suis d’accord avec l’auteur de l’article : ce type de comparaison est inacceptable. Je suis totalement d’accord avec le raisonnement tenu dans l’article sur la banalisation des termes liés au nazisme. C’est une forme insidieuse de révisionnisme, à l’échelle de plus qu’une génération. Nos descendants auront du mal à imaginer l’horreur des camps de la mort, car aucun mot ne sera encore assez fort pour l’exprimer.