A-S Benoît, je vous aime ! Je me suis régalé à la lecture de votre article, j’oserais dire « bien torché ».
Aprés les femmes-objets tant dénoncées par les féministes, voici l’enfant-produit, on le veut au top, avec la perfection d’un yaourt 0%, mais avec de vrais-faux morceaux de fruits dedans, un enfant-marchandise, dont on évaluera le rapport qualité-prix en terme de coût éducatif, et dont on espérera le meilleur avenir possible, tout en lui accordant le minimum de temps, histoire, comme vous le dites de pouvoir s’épanouir dans une activité de rampant...
Ah...le bon temps des nourrices morvandelles, ces praves péquenaudes aux seins généreux, qui permirent tant d’épanouissement chez les bourgeoises du siècle dernier !