Tout d’abord j’aimerais savoir si on connait le pourcentage de personnes qui ont souscrit un crédit, quel qu’il soit, et qui se sont rétractées ?
A mon avis il ne doit pas atteindre des sommets. Donc pensez-vous que ce soit sur le délais de rétractation qu’il faut agir ?
Car lorsqu’une personne fait un crédit, c’est qu’elle a un besoin ou une envie et elle n’envisage pas de se rétracter, au contraire elle attend fébrilement que le délais soit écouler pour toucher les sous. Il ne faut pas se leurrer. Si les organismes sont prédateurs, les consommateurs savent ce q’ils font quand ils signent.
Par ailleurs les organismes prêteurs consultent effectivement les FICP lors de l’octroie du premier crédit dans leur établissement, mais une fois que vous êtes dans leurs filets ils ne le re-consulte pas sauf si vous avez eu un incident de paiement et encore. Par contre ils vont gaillardement vous ficher pour vous garder chez eux. Ainsi les autres ne vous octroieront pas de crédits, mais eux si.
A croire qu’ils ont des barèmes à atteindre avant de ne plus rien vous accorder.
Si l’État leur ponctionnait une partie des remboursements pour aider socialement en retour, (avec des plafonds à ne pas dépasser sinon ponction), il y aurait peut être moins d’abus de ces organismes. Surtout si ce contrôle était fait par le Trésors Public.
A moins d’instaurer une loi interdisant l’octroie de plus de 2 crédits révolving par personnes ou foyer, ça peut aussi être une solution. Créer un fichier de déclaration obligatoire à remplir par les organismes à chaque contrat signé et à consulter obligatoirement comme le FICP avant l’octroie d’un autre crédit.
Et enfin assouplir l’octroie de crédit classique par les banques à des taux très bas, mais toujours avec un plafond du nombre octroyé par personne ou foyer.
Ceci dans le but de prévenir le surendettement et protéger le consommateur.
Là je pense qu’il pourrait y avoir un début de solution, mais bon c’est une utopie bien sur.