J’avais vu, il y a de cela bien 15 ans, un reportage où le directeur d’Interpol expliquait que, déja à l’époque, on ne pouvait plus faire la différence, pour ce qui est de l’argent caché dans les paradis fiscaux, entre les comptes des multinationales et caux de le mafia.
Il en était arrivé à dire que les objectifs des uns et des autres étant les mêmes, la limite les séparant était devenue plus que floue.