Le bouclier fiscal exclut la CSG, et il vient après les charges sociales. Plus concrètement, un salarié perd 50 % de la valeur de son travail en charges sociales (salariales et patronales), puis paye l’IRPP, l’ISF quand il a un patrimoine moyen, deux impôts plafonnés á 50 % de ce qui lui reste. Il est donc ponctionné de 75 %de la valeur de son travail jusqu’ici. Il peut alors payer la CSG/CRDS, puis tous les impôts complémentaires : TIPP, TVA, bonus/malus (voiture familiale, on imagine plutôt le malus) sur les véhicules, sur les cigarettes, sur les supports d’enrregistrement, etc. Ce bouclier n’empêche pas un particulier de perdre quasiment tout son revenu en taxes malgré le bouclier fiscal.
Mais jJe rappelle que pour les employeurs, ce sont les charges sociales qui pèsent le plus en France dans l’esprit des entrepreneurs. Ce qui précède concerne d’abord les particuliers.