NIETZSCHE SUR LA PRESSE
Humain, trop humain (1876), II, § 81 : « Le journaliste qui égare l’opinion publique par de menues malhonnêtetés. »
VIII, § 447 : « La puissance de la presse vient de ce que chaque individu a son service ne se sent que fort peu de liens et d’obligations […] quiconque a de l’argent et de l’influence peut, de toute opinion, faire une opinion publique. »
Opinions et sentences mêlées (1879), § 321. « La presse :
Est-elle plus que la fausse alerte permanente qui détourne les oreilles et les sens dans la mauvaise direction ? »
Fragments posthumes, W I 1, printemps 1884 : [134] : « Mépris profond pour ceux qui travaillent dans la presse. »