"Un médecin
qui ne viserait pas d’abord le bien de son patient, mais sa propre
publicité ; un enseignant qui ne viserait pas d’abord l’essor et les
progrès de son élève, mais on ne sait quel profit personnel : ces gens
seraient aussitôt méprisés, blâmés. Ne devrait-il pas en être ainsi, pour un
journaliste « recherchant le buzz » ?"
Non !
Il y a même un énorme pourcentages de gens
dans divers domaines
professionnels, qui font passer leurs intérêts
personnels avant la qualité de leur travail.
Je ne vois pas pourquoi on s’en étonne autant au sujet des journalistes.
Nous sommes dans la société du paraître, de la
comm et du chacun pour soi, ou l’individu moyen ne pense qu’à acquérir ou maintenir des
avantages personnels, des privilèges.
Le politiciens et les journalistes ne sont pas
pires que les autres, ils ne sont que le reflet de la population (moins
visible) et d’une société moralement et massivement corrompue.