Monsieur,
J’ai toujours apprécié vos articles,
mais là : NON.
Vous parlez de choses que vous ne
connaissez pas. Comment critiquer Michel Onfray alors que vous n’en n’avez pas
lu une ligne. Alors, avec maladresse, votre article essaye, par toutes sortes d’artifices,
de critiquer Michel Onfray sur des
« on dit » et les appréciations floues des ricochets médiatiques que
vous reprenez sans aucune rigueur..
Je retournerai l’argument les Talibans. Ce
sont en fait les psychanalystes, ces Talidivans qui en France et en
Argentine... (Ailleurs cette fausse thérapie à plus que du plomb dans
l’inconscience de sa pratique) continuent leurs petites affaires en conservant
quelques crédit par l’effet placebo qu’ils procurent : un peu « chérot »
quand même cet effet. Bon, Ok, vous défendez une religion. Pourquoi pas...
Pour moi, ce texte est une déception je vous
croyais plus rebelle.
Et puis, rien que par hommage à celui
qui porte la philosophie vers les gens, non comme un maître mais comme un vrai
partageur de la conscience (Université Populaire de Caen) , vous devriez lire
Michel Onfray : je pense que cela ébranlerait fondamentalement vos hypothèses.
A moins que votre foi soit inébranlable, dans ce cas je comprendrai ce texte
dont la « tristesse » intellectuelle équivaut à celle du temps
qu’il fait sur Nice Aujourd’hui.