@auteur
Merci pour cet article qui met en lumière les absurdités de l’Onu qui, par ailleurs, est devenu le machin des musulmans qui y ont force de loi. Aujourd’hui, on ne contredit pas les républiques islamiques sous peine de se recevoir une bombe en pleine gueule ou une bonne fatwa dans les gencives.
On pourrait se dire qu’il est bon que les pays les plus arriérés en matière d’égalité de genre et de respect des femmes prennent des postes de responsabilité dans ce domaine car ça pourrait les obliger à donner l’exemple.
Non seulement ce raisonnement est faux car les sociétés patriarcales n’ont absolument pas intérêt à changer les systèmes qui rapportent et en particulier l’exploitation, la discrimination et le contrôle des femmes, mais elles n’ont pas les informations dont disposent les pays qui laissent les femmes s’exprimer, qui subventionnent des études sur les discriminations sexistes et les inégalités de genre, et encore moins des idées de « bonnes pratiques » sur ce qu’il conviendrait de faire pour changer les discriminations.
On peut donc affirmer sans se tromper que la nomination d’états sexistes à des responsabilités onusiennes ou autres fait partie du backlash généralisé, de la régression organisée de la condition des femmes dont l’épidémie de voiles en Europe n’est qu’un épiphénomène.