Décidément, sale temps pour les humoristes engagés (enfin du mauvais côté, pour les autres pas de soucis à se faire). On observe la progression de la crainte de tous ces journalistes vis-à-vis du pouvoir.
La terreur s’installe subreptiscement, délit d’opinion, délit de penser autre chose que ce qui nous est conseillé.
Quant au peuple, c’est tous les jours qu’il se fait « entuber » ’et ce ne sont pas que des paroles !), mais ça, ce n’est pas grave, c’est dans la logique des choses ...