Certes, la BCE est résignée à refinancer la dette souveraine d’un certain nombre de nations Européennes car la zone Euro est aujourd’hui - et plus que jamais - dépendante des marchés du crédit et ce tout bonnement pour sa propre survie ! Comment espérer ainsi se passer de marchés rendus de facto omnipotents à la faveur de la masse gigantesque de crédits accordés par le système bancaire Européen estimée à 22′000 milliards d’Euros alors que le P.I.B. global de la zone Euro, lui, n’est « que » de 9′000 milliards d’Euros… ?
Comment se passer des marchés ?
En annulant les dettes des états aux banques et organismes financiers, et en promulguant la nécessaire réforme monétaire, qui supprime aux « marchés » (terme pudique pour parler de toutes les formes de spéculation), leur pouvoir de nuisance.
Comme l’a fait l’argentine qui s’en porte beaucoup, beaucoup, beaucoup mieux depuis !