Personnellement, n’ayant pas le goût de l’archivage, quand j’en ai accumulé une dizaine, je replie soigneusement mes anciens numéros et place la pile dans une corbeille de distribution de ces « journaux gratuits » que l’on trouve dans le métro parisien. Certes, l’information n’est plus très fraîche mais j’ose espérer qu’elle sera lue par ces lecteurs du hasard qui les embarquent en quelques minutes.