Toujours dans le Canard Enchaîné de demain. Je ne résiste pas à la tentation de citer les premières lignes de l’éditorial d’Erik Empaz :
« On connaissait le repos du guerrier, pas le coup de l’homme qui « déclare la guerre » et qui part en vacances. C’est une innovation hardie que nous devons à Nicolas Sarkozy. »