Recentrer le débat sur la France en tant que nation forte qui ne démissionne pas face au mondialisme est la seule solution pour les français et par ricochet pour les autres peuples qui bénéficieront d’une dynamique démocratique.
Mais les vrais sujet, scission des banques par activité pour sauver uniquement celle de dépôt, le crédit publique productif (non-inflationniste donc) sans intérêts et protectionnisme contre le dumping social et environnementale, sont tabous.
Il est devenu interdit d’être autre chose que anti-capitaliste ou anti-nation.
Comme si le capitalisme productif n’avait pas déjà battu l’impérialisme financier anglosaxons (à la base des fascismes ; Morgan, Warburg,...) à maintes reprises (Roosevelt, Lincoln, de Gaulle, Bismark,...).
Comme si la nation n’était pas l’instrument le plus puissant dans une démocratie.