Merci pour tous les commentaires
constructifs. Je fait ici quelques réponses à ceux qui m’ont le
plus marqués.
@Jean-Pierre Llabrés
Séparation du politique et de
l’économique, oui en théorie. Malheureusement la pratique est tout
autre. L’élection des présidents américains le montre, et dans
beaucoups de pays, dont la France, les dérives éxistes dans les
financement et les renvois d’ascenseurs sont inévitables.
De plus, meme si certains pays sont
vertueux, lorsque les plus grandes économies mondiales prennent le
pouvoir, les politiques de la cote d’Ivoire n’ont pas beaucoup de
poids face á elles.
La crise des sub-prime américaine
touche le paysan indien, cést un effet pervers de la mondialisation.
Il est vrai que le vrai procès n’est peut etre pas celui de la
mondialisation, mais celui de l’omnipotence de l’économie dans les
pays puissants et l’impact que cela a sur le reste du monde.
La chine a un pouvoir politique qui
dirige son économie, c’est également la deuxième puissance
économique mondiale, pourtant meme eux subisse les crises
américaines et européennes.
Par ailleurs la mondialisation a aussi
des effets bénéfiques et je n’en parle pas dans cet article, je
suis d’accord.
@K
Les accords internationaux en sont
effectivement pas en soit un déni de démocratie. Le problème la
aussi est que l’influence des lobbys financiers est tel que les
politiques plient sous la pression. La complexité de ces accords et
de leur impact en cas de crise échappe aux politique et encore plus
aux électeurs. Car c’est un des problèmes fondamentaux du poste
d’homme public, on en peut pas etre specialiste en tout, donc on
delègue. Et qui prend le role du conseil financier ? Un financier en
toute logique. Seulement ce meme financier est juge et parti, et
c’est à ce moment là que le jeux démocratique est faussé.
Quand a la distinction
plutocratie/démocratie, vous touchez exactement le sujet de cet
article qui aurrais pu s’intituler “mondialisation ou la victoire
de la ploutocratie”.
@Martin
J’aprécie beaucoup votre intervention
car j’y retrouve une bonne expression de ma pensée.