Le suicide raté pose des problèmes bien différents suivant qu’il est le fait (1) d’un jeune ou d’un adulte en période de maturité, ou (2) d’une personne âgée, malade et isolée.
Pourtant, ce deuxième cas se voit parfois traité par une hospitalisation d’office (H.O.) en hôpital psychiatrique départemental, comme si l’individu concerné représentait un danger pour la société.
Une hypothèse plausible est qu’un tel individu, bien qu’à la charge de la société, représente une rente pour les médecins et les hôpitaux. D’où l’acharnement thérapeutique à les réanimer malgré leur volonté clairement exprimée par écrit.