Là, c’est plus clair. En effet, je crois que l’usage de FB reflète la manière dont on vit et pense, dont on vit et pense, à ses amis, et on peut en effet comme des jeunes par exemple ou des amis très proches être très attentifs à tout et rien, et accorder de l’importance à ce qui n’en a pas. Mais je trouve que précisément FB permet d’apprendre à faire la différence entre ce qui n’en a pas et ce qui en a. Ce texte a pour objet de mettre en cause la précarité des comptes, eu égard aux pouvoirs dictatoriaux de FB, et d’inviter les usagers à soutenir l’esprit et l’initiative d’un dialogue avec les responsables de FB pour qu’ils écoutent et changent certaines règles de fonctionnement, sinon ils finiront par perdre des millions d’usagers dès qu’une concurrence intelligente apparaîtra...