Bon d’accord, il y a le petit journal mais autour quoi ?
RIEN : ce n’est pas l’ancienne
greluche nullasse , Ariane Massenet qui accompagnait l’autre faiseur là qui peut faire une interview intelligente : elle n’a jamais posé une seule question intelligente de sa vie. Elle aurait dû rester à... RFO. La tâche complète : même en retrait elle ne four pas plus qu’avant : elle est faite pour vivre au 3eme rang. Et encore, avec des gros devants.
la météo c’est du showbizz et ça ne présente pas d’intérêt : autant ne pas la faire ou en faire un truc plus drôle !
celle-là elle peut faire rire, mais faut lui trouver un autre boulot.
mais le pire, c’est l’autre autruche là quand elle vient causer musique du haut de sa suffisance, ou qui elle aussi pose des questions du type « quel shampoing vous utilisez » : je crois bien que c’est elle la pire de toutes à la télé.
Tania Bruna-Rosso elle s’appelle. Jamais vu pire en connaissances musicale : elle confond brushing et guitare, est tout juste bonne à vendre de la crème et encore.
mais tout s’explique chez elle : voilà pour elle un instrument de musique :
sa bio est à se tordre « Née le 29 janvier 1978, Tania Bruna-Rosso est issue d’une famille arty parisienne » :
A son retour, elle enchaîne les stages dans des magazines tels que Les Inrockuptibles. Elle décroche le poste d’assistante du rédacteur en chef de Nova Mag, puis rencontre au détour d’une soirée Jean-François Bizot, fondateur de Radio Nova, qui l’incite à faire de la radio. Son dynamisme et sa culture musicale pointue lui valent d’être embauchée sur le champ comme chroniqueuse.
moi je l’aurais virée sur le champ. Le « pointu » chez elle, ce sont ces talons.
mais y’a mieux encore :
Parallèlement, Tania Bruna-Rosso forme avec des copines le quatuor de Djettes Les Putafranges, qui, fort de mélanges musicaux des plus audacieux, se fait un nom dans le milieu de la nuit. Leur crédo : « apporter du glamour à la musique électronique ». Les quatre Djettes commencent à animer des soirées dans les grands clubs parisiens, et obtiennent vite des prestations régulières au Tryptique, puis au Paris-Paris.
vous en avez entendu parler depuis des « Djettes Les Putafranges, » ??
c’est là :
but musical :
musicalement c’est ça :
si vous trouvez PIRE, faites signe, même sur Mars ou Jupiter ça n’existe pas. Et ça vient causer musique dans le poste !!
Bref, c’est du vent complet, le Denisot show. La soupe à servir aux ARTISSSSSSSES invités. NUL, de chez nul.
Les autres sont transparents et sans saveur, et Apathie quand il vient.. apathique.
on finira vraiment par devenir vraiment nostalgique de ça :
bon allez il y en a plein et franchement c’était à pleurer de rire : aujourd’hui, avec l’autre disk jockey de putas, là ; c’est NUL A CHIER le nouveau nom du journal.