Mais pourtant, des personnalités n’hésitent pas à évoquer la possibilité d’un réexamen. Voir cette dépêche :
Pour autant, Jean-Claude Mailly ne pense pas que la journée de mardi sera « un tournant » ou un « pic » dans la mobilisation. Pour lui, « nous sommes passés d’un conflit classique à une crise profonde » et c’est au gouvernement de « déminer le terrain ». « S’il maintien sa position en pariant sur un pourrissement de la situation ou sur la fissure du front syndical, il joue un jeu dangereux », prévient-il.
Le syndicaliste demande au contraire « une sortie de crise rapide » et affirme que « le retrait du CPE est possible juridiquement ». « Il suffirait que le président de la République demande une deuxième lecture du texte devant le Parlement, ce qui permettrait de supprimer l’amendement qui crée le CPE. »
Chirac peut aussi refuser de signer le texte de promulgation de la loi si ma mémoire est bonne. Qui alors dit vrai ? SOS, un constitutionnaliste est demandé sur l’Agora !!!