Ce genre de révélation, pour éclairante qu’elles soit, produit un effet pervers.
Le lecteur se retrouve donc face à une énorme arnaque d’où il ressort que plus c’est vilain, plus c’est enrichissant,, que plus c’est gros, plus c’est sans risque.
Devant l’immunité dont profitent les empereurs de l’arnaque, le quidam ne peut que se dire qu’il devrait laisser tomber la réparation des voitures ou la vente des aspirateurs et se lancer dans la haute finance. Au minimum entrer au capital des champions de l’arnaque.