Les associations anti-racistes sont dans leur rôle habituel de porter plainte, ce n’est pas nouveau mais ça ne veut pas dire qu’elles auront gain de cause devant le juge. Leur but est d’intimider, de stigmatiser et de pourrir la vie de la personne visée afin qu’elle ne recommence pas. Mais au vu des exemples passés, il semblerait que ça ne marche pas si bien que ça.
J’ai assez bien aimé la tête de Finkielkraut pendant cette partie de la chronique, mais c’est pareil chez lui tout porte vers l’exagération quand ce il n’est pas carrément à côté de la plaque.
En attaquant habilement Dieudonné, Bedos s’épargne un amalgame facile et une aide éventuelle mais encombrante ce qui lui sera bien utile au tribunal.