" et lui permet de se hisser vers le million d’entrées en raflant les écoliers d’aujourd’hui pour les parquer de force dans des salles de cinéma pédagogiques »
Mais là aussi, d’une ça se fait pour des mauvais films de tous genres, filmés à la truelle et lourdingues. On est tous allés voir ce genre de film à thème catastrophique, ou adaptations aux semelles de plomb (le Germinal de Berry pour mon compte) en milieu scolaire.
Quant à la réutilisation des termes de rafle et de parquer, c’est franchement limite, ça participe de toute une politique de banalisation d’un génocide, ça reprend toute une stratégie utilisée on sait comment et par qui sur le net.
Parler d’audace, de courage, de brio, etc.., l’auteur n’a pas l’impression d’en faire un peu trop ?