Je ne suis pas sur que « mettre l’accent sur la force de conviction c’est reconnaître la puissance des idées et la supériorité de l’esprit, de la réflexion sur l’action et l’inertie de la matière. ». C’est aussi peser le rapport de force qu’il y a entre l’idée, la pensée et toutes les demandes et les besoins du corps. Et ces derniers ne sont pas négligeables dans l’apport à la force de conviction.
Boris