Avec une dette qui atteint des records abyssaux, une montée galopante du chômage et de la précarité, un manque de plus en plus visible de logements sociaux, etc., il est normal de bloquer les demandes d’asiles.
Le français, car c’est de lui dont il s’agit, n’a pas vocation à mettre une partie de son argent durement gagné au service des demandeurs d’asile, alors que lui-même est de plus en plus dans une situation précaire.